Primeurs, épiceries portugaises ou russes, traiteur libanais… À Compiègne, les installations de commerces de proximité se multiplient. Une dynamique partie pour durer.
Les commerces de bouche réinvestissent Compiègne. Alors qu’ils avaient peu à peu déserté la cité impériale, les installations se multiplient. A la fin du mois, un traiteur ouvrira rue des Lombards. Un peu plus loin, rue de l’Etoile, c’est un restaurant grill qui proposera spécialités turques et kurdes.
Une dynamique enclenchée il y a trois ans, avec l’arrivée de l’épicerie italienne La Bodega, rue Saint-Corneille. « C’était un pari à l’époque, souligne Ben, gérant et cuisinier. Le petit commerce prend sa revanche sur la grande distribution. On redécouvre les conseils des artisans, les plats faits maison… »
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Et pour ceux qui aiment cuisinier, trois primeurs ont vu le jour en l’espace d’un an et demi. Trois primeurs se sont installés en l’espace d’un an et demi. « Si vous saviez ce que ça me fait plaisir ce retour des commerces de bouche, s’émeut Philippe Trinchez, conseiller municipal délégué aux commerces. Tout le monde disait que seuls des opticiens et des assurances ouvraient. A Compiègne, il y a la clientèle pour, la preuve ! On veut de la qualité, de la proximité. On achète peut-être moins, mais on achète bien. »
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Source : Le Parisien
Journaliste : Stéphanie Forestier
Copyright Photo : Le Parisien / Stéphanie Forestier